Depuis les premiers mois de la pandémie de COVID-19, certaines équipes médicales ont évoqué un risque aggravé de troubles de l’érection chez les hommes infectés par SARS-CoV-2.
Ces dernières années, les scientifiques se sont intéressés à la place des NACO comme alternative aux HBPM chez les patients avec cancer et atteints de MTEV, chez qui la tolérance et l’observance aux injections d’HBPM restent limitées.
Une méta-analyse de l’Université du Maryland à Baltimore, publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism suggère ainsi que les IPP améliorent le contrôle glycémique chez les personnes diabétiques, mais n’ont eu aucun effet préventif contre l’incidence ou l’apparition du diabète e population générale.